La première condition est qu'il devrait savoir le jugement Islamique concernant ce qu'il impose ou interdit
Puis il devrait seulement imposer ce qu'il sait que la shari'ah impose et il devrait seulement interdire ce qu'il sait que la shari'ah interdit et il ne devrait pas compter sur ses goût ou coutumes en ce qui concerne cela.
La deuxième condition est qu'il devrait connaître la situation de la personne à laquelle il s'adresse
Est-elle celle qui devrait être imposé ou interdit, ou non ?
Si il voit une personne dont il n'est pas sûr qu'elle soit responsable (moukalif) ou non, il ne devrait rien imposer sur elle jusqu'à ce qu'il le découvre.
La troisième condition est qu'il devrait savoir de la personne qui semble être responsable : a-t-il fait l'action qu'il veut imposer, ou non ?
S'il voit quelqu'un entrer dans la mosquée et s'assoir et qu'il n'est pas sûr qu'il ai fait deux rak'ahs ou non, il ne devrait pas l'accuser ou lui dire de les faire, jusqu'à ce qu'il en sache plus.
La quatrième condition est qu'il devrait pouvoir imposer ce qui est convenable et interdire ce qui est blâmable, sans entraîner le mal (ou tort) sur lui.
Si cela entraîne le mal sur lui, alors il ne doit pas le faire, mais si il est patient et le fait, ceci est meilleur, parce que tous les devoirs sont soumis à la condition que l'on puisse les faire, parce qu'Allah dit (l'interprétation de la signification) :
"Craignez Allah, donc autant que vous pouvez," [ Al-Taghabun 64:16]
"Allah n'impose à aucune âme une charge supérieure à sa capacité" [ Al-Baqarah 2:286]
La cinquième condition est que d'imposer ce qui est convenable et interdire ce qui est blâmable ne devrait pas aboutir à un mal plus grand que de se taire.
Si cela en résultera alors il ne doit pas le faire, plutôt il ne lui est pas permis d'imposer ce qui est convenable et interdire ce qui est blâmable.
Traduction approximative de Majmou ' Fatawa Al-Shaykh Al-'Uthaymine (8/652-654).
copié de twitter.com/VisitedesMalade
Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine - الشيخ محمد بن صالح العثيمين
Puis il devrait seulement imposer ce qu'il sait que la shari'ah impose et il devrait seulement interdire ce qu'il sait que la shari'ah interdit et il ne devrait pas compter sur ses goût ou coutumes en ce qui concerne cela.
La deuxième condition est qu'il devrait connaître la situation de la personne à laquelle il s'adresse
Est-elle celle qui devrait être imposé ou interdit, ou non ?
Si il voit une personne dont il n'est pas sûr qu'elle soit responsable (moukalif) ou non, il ne devrait rien imposer sur elle jusqu'à ce qu'il le découvre.
La troisième condition est qu'il devrait savoir de la personne qui semble être responsable : a-t-il fait l'action qu'il veut imposer, ou non ?
S'il voit quelqu'un entrer dans la mosquée et s'assoir et qu'il n'est pas sûr qu'il ai fait deux rak'ahs ou non, il ne devrait pas l'accuser ou lui dire de les faire, jusqu'à ce qu'il en sache plus.
La quatrième condition est qu'il devrait pouvoir imposer ce qui est convenable et interdire ce qui est blâmable, sans entraîner le mal (ou tort) sur lui.
Si cela entraîne le mal sur lui, alors il ne doit pas le faire, mais si il est patient et le fait, ceci est meilleur, parce que tous les devoirs sont soumis à la condition que l'on puisse les faire, parce qu'Allah dit (l'interprétation de la signification) :
"Craignez Allah, donc autant que vous pouvez," [ Al-Taghabun 64:16]
"Allah n'impose à aucune âme une charge supérieure à sa capacité" [ Al-Baqarah 2:286]
La cinquième condition est que d'imposer ce qui est convenable et interdire ce qui est blâmable ne devrait pas aboutir à un mal plus grand que de se taire.
Si cela en résultera alors il ne doit pas le faire, plutôt il ne lui est pas permis d'imposer ce qui est convenable et interdire ce qui est blâmable.
Traduction approximative de Majmou ' Fatawa Al-Shaykh Al-'Uthaymine (8/652-654).
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Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine - الشيخ محمد بن صالح العثيمين